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The Elder Scrolls V : Skyrim

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La terre tremble, alduin le destructeur de monde est de retour. Il parcourt Bordeciel en réveillant tous les dragons jadis morts et enterrés. Bordeciel est dans le chaos, au bord de la guerre civile, les sombrages et les impériaux n’ont de cesse que de s’affronter. Et vous dans tout ça ? Vous étiez sur le point de perdre la tête… littéralement ! Quand un dragon a surgit de nulle part et attaqué Helgen. Vous êtes libre, ne sachant pas vraiment qui vous êtes, ni quelle est vraiment votre rôle dans tout ça. Il va falloir trouver votre place dans cette aventure et c’est à vous de choisir où elle se trouve. Bientôt de grands pouvoirs  vous seront révélés, et vos choix auront plus d’importance que ceux de n’importe qui ! Vous allez devoir découvrir pourquoi les dragons sont de retour, et les combattre… alors préparez- vous, car nous vous emmenons en Bordeciel.




1er chapitre : L’histoire s’écrit

C’est à votre tour, le garde s’empresse de vous rappeler que c’est à vous, à vous de payer pour vos crimes. Et pour ceux-là vous êtes sur le point de mourir, exécuté par le bourreau de l’armée impériale. Vous ne savez pas qui vous êtes, votre histoire commence ici. Mais avant cela, vous allez devoir déciderà quelle race vous appartenez, en sachant que chaque race possède des capacités  qui lui sont propres.

Ce choix est important, il conditionnera votre façon de jouer, mais rappelez-vous qu’en Bordeciel tout est possible. Ensuite, Il va vous falloir choisir votre apparence parmi quelques personnalisations… trop peu. Puis votre nom… et vient la sentence… quand soudain, au moment où le bourreau lève sa hache gigantesque, un dragon apparait dans le ciel et se pose sur la tour d’un donjon situé à quelques mètres de là. Son cri perse les tympans et déclenche le chaos, vous devez fuir, pour survivre et aller raconter tout cela au Jarl Balgruf le grand, lui, saura quoi faire.
Bon bref fini les conneries, les contes et les légendes, grosso merdo c’est la merde, la ville entière subi les attaques de cet enfoiré de dragon, il va falloir se sortir les doigts du cul ! Oulala pardon j’ai craqué…

Pour revenir un peu sur le choix de la race de votre personnage, choisissez celle qui vous parle le plus par rapport à votre façon de jouer.  L’outil de personnalisation est moins précis que dans Oblivion, mais au fond, vu que le jeu se déroule la plupart du temps en 1er personne, l’apparence… on s’en tape un peu. Une des choses qui marque le plus c’est le changement, logique, par rapport à l’utilisation des mains de votre perso. Dans les opus précédents, on pouvait avoir une épée à deux mains et faire de la magie en même temps… là cela a disparu et donc plus de troisième bras. Par conséquent le choix de vos armes est ultra important, sachant que vous pouvez cracher des flammes de la main droite et tenir un bouclier dans la main gauche. Il y a de multitudes de styles de combat à adopter.

Un éditeur simple mais efficace !

 


2ieme Chapitre : En Bordeciel

Le jeu commence très rapidement, on se retrouve vite à combattre des araignées géantes, heureusement que des petites astuces s’affichent souvent à l’écran pour vous guider. Vous n’imaginez pas le nombre de choses à faire en Bordeciel. Vous pouvez forger, lire, couper du bois, tisser, chasser, pratiquer l’alchimie etc... D’ailleurs mention spéciale à l’alchimie, car c’est un réel plaisir de confectionner des potions. Tout d’abord il vous faudra récolter les ingrédients dans la nature, ou les acheter chez un marchand. Ensuite, pour découvrir les effets que donne chaque ingrédient, vous devrez les gouter, puis les mélanger ensemble pour créer des potions. Vous pourrez aussi trouver ou acheter des recettes de potions un peu partout. Chaque métier est intéressant à pratiquer, surtout n’hésitez pas à essayer un peu tout pour vous faire une idée. Cependant il est évident que forger des armures en acier n’est pas d’une flagrante utilité pour un magicien pur et dur.


Ce qui fait le charme de ce jeu c’est la sensation de liberté totale. On se retrouve seul,  avec tout Bordeciel pour terrain de jeu, des dizaines et dizaines de lieux à découvrir, des centaines de personnes à rencontrer et à qui parler, et des centaines de quêtes à accomplir dans l’ordre que l’on veut. Au début on ne sait pas trop où aller, on se perd. Heureusement une petite boussole horizontale placée en haut de l’écran est là pour vous aider même si elle n’est pas toujours pratique à lire. Idem pour la carte, qui est bien sympathique, mais on a parfois du mal à la manipuler et trouver ce que l’on cherche. Le petit plus qui tue c’est le déplacement rapide, chaque endroit visité peut être rejoint en quelques secondes grâce à cette fonction. Très pratique, surtout pour  les villes ou grottes situées au fin fond du trou du cul de Bordeciel. Des chariots de transport sont aussi disponibles, avec eux vous pourrez très rapidement atteindre  les 9 chatelleries (même celles non visitées), contre une certaine somme d’or. Vous pourrez aussi acheter un cheval pour accélérer vos déplacements.


Mais comme dit plus haut, vos choix sont au cœur du jeu. Tout comme les combats, que ce soit à l’épée, à l’arc ou à coup de sort, c’est vous qui choisissez votre façon d’appréhender les combats. Vous pouvez jouer en furtivité et surprendre vos ennemis, vous pouvez la jouer « gros bourrin » et tabasser tout ce qui passe ou acquérir des sorts de familier ou de conjuration pour faire, des cadavres vos alliés.

Tout le long du jeu, votre comportement en civilisation a de l’importance. Vous pouvez vous amuser à tout voler pour revendre aux marchands ou être un honnête homme du début jusqu’à la fin, ou un peu des deux… mais prenez garde car crime ajoutera de la valeur à votre prime et très vite vous serez recherché. Pareil pour les missions, souvent vous aurez la possibilité de choisir qui aider dans une même quête… celle qui est recherchée ou ceux qui recherchent. Vous pourrez rejoindre des guildes de voleurs, des confréries, des groupes de compagnons ou même des factions, pour déclencher des guerres civiles. En gros, vous l’aurez compris, oubliez tout votre autre jeu, finir celui-ci entièrement vous prendra un temps considérable.

Ah les trolls...comme ils sont gentils !

 

Chapitre 3 : Sentir la douleur c’est vivre

Parlons maintenant du gameplay… Simple et efficace, pas de combinaisons, juste des touches choisies pour jouer à l’instinct. R1 pour frapper, L1 pour parer… maintenez R1 pour frapper violement… pour la magie, un sort dans chaque main donc L1 et R1 pour s’en servir. Vous voyez pour attaquer, rien de plus simple. Grâce à la croix directionnelle vous pourrez utiliser vos raccourcis et rapidement changer d’armes ou boire une potion de vie. Tant qu’on y est parlons de l’inventaire… un des points faibles du jeu. Fouilli, ça fait mal aux yeux, on vend souvent un objet sans le vouloir, on a du mal à s’y retrouver mais on fait avec.  
En ce qui concerne l’évolution de votre personnage, Bethesda a mis en place un nouveau style d’affichage pour les compétences. L’arbre de compétence a fait place à des constellations. Une fois un niveau passé vous devrez choisir quoi augmenter entre : Santé, magie ou vigueur. Et ensuite il vous sera demandé d’attribuer un point à la compétence de votre choix parmi les 18 constellations disponibles, sachant que dans chaque constellation il y a une quinzaine d’atouts à débloquer. Mais n’oubliez pas que vous ne pourrez pas terminer toutes les compétences à fond, et que ces choix sont irréversibles… donc prenez garde à bien réfléchir en fonction du style de perso que vous voulez créer.


Les combats se veulent dynamiques et intenses. On peut frôler la mort à chaque affrontement… et c’est ça qui est bon. Pratiquer l’archerie est un réel plaisir, car il faut bien viser et trouver le bon timing pour que votre ennemi n’esquive pas facilement la flèche. Mais ne vous méprenez pas, c’est la même chose pour tous les styles de combat. Même à l’épée à deux mains il vous faudra être précis et dans les temps sous peine de voir votre barre de vigueur (endurance) baisser et vous retrouver épuisé et sans défense.  

Le nouveau système de compétences.

 

Chapitre 4 : Tout a une fini

Comment trouver les mots pour vous parler de la bande son de Skyrim… ah oui, c’est surement une des plus belles bandes son de la décennie. Les musiques sont d’une intensité impressionnante, elles collent parfaitement aux actions. Les chants et cœurs viking sont à frissonner de plaisir. Les bruitages eux aussi sont excellents, rien à dire.
Quant aux graphismes, on n’est pas au top du top du graphisme 2011 mais cela reste tout à fait acceptable.  Aussi, on vient à râler sur le temps de chargement, qui est parfois un peu long quand on passe une porte… mais si on se rappelle de la taille de la carte et le nombre d’objets et personnages à charger, on comprend vite que c’est normal.


 

En se promenant, vous rencontrerez toutes sortes d'ennemis.

  • JOUABILITÉ

    15

    Pas toujours simple de jouer en première personne, surtout pendant les combats mais Bethesda a pensé à inclure une vue à à la troisième personne. Les menus et raccourcis ne sont pas toujours pratique mais on s'y habitue.

  • GRAPHISMES

    16

    Ce n'est pas le point fort du jeu mais ça reste d'une qualité graphique tout à fait acceptable sur consoles, sur PC ils sont nettement supérieurs.

  • BANDE SON

    19

    Une des meilleurs bande son de la décennie, rien à rajouter...

  • DURÉE DE VIE

    20

    Là encore, ne vous inquiétez pas, certains joueurs ont dépassé les 200 heures sans s'ennuyer, sans compter les DLC à venir. C'est votre femme qui ne va pas être contente !

  • SCÉNARIO

    16

    Bethesda a bien bosser sur l'histoire, elle est prenante et donne envie de la finir jusqu'au bout, qui n'aime pas buter du dragon ?

  • Points positifs

    • Une durée de vie presque infinie !
    • Une bande son à faire pleurer les pierres.
    • La liberté d'action.
    • Les combats passionnants.
    • Le bestiaire.
  • Points négatifs

    • Une vue à la première personne parfois brouillon.
    • Aliasing et clipping un peu partout.
    • Quelques bugs qui gênent la progression.

Conclusion

Que dire à part que Skyrim s’adresse à ceux qui veulent se plonger à fond dans un jeu. A ceux qui aiment les détails, le réalisme, une histoire poignante et immersive, des combats passionnants, parcourir des kilomètres sur des terres inconnues à la merci du danger, à ceux qui veulent affronter des dragons, des morts vivants, vampires et loups garou à tout va, accomplir des centaines de quêtes et surtout le jeu s’adresse à tous les fans de RPG. Le genre a trouvé sa nouvelle référence. Croyez-moi, vous ne regretterez pas de claquez 65 euros pour ce chef d’œuvre.

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Commentaires (3)

author * 03/10/2013
16:33
Oh yeah !!! Super test ;)

Par contre, il faut trouver un moyens pour dissocier test PC et test console car celui sur PC a disparu ^^'
author GM 03/10/2013
18:07
Très bon test ! :D
author loveandpeace 03/10/2013
20:35
Ah merde ! Désolé pour le test PC ! Merci sinon pour les compliments !