Rocket League

Ecrivez vos remarques et vos tests sur les jeux.
Avatar de l’utilisateur
Vesperia
Maître Ninja
Messages : 1210
Inscription : 19 août 2011, 00:11
Titre : Élu du mana / Modo
Localisation : Tour du Salut

Rocket League

Message par Vesperia »

Développé et édité par Psyonix, Rocket League est un jeu mêlant foot et voitures personnalisables. Suite spirituelle de Supersonic Acrobatic Rocket-Powered Battle-Cars, premier jeu du studio, Rocket est sorti initialement le 7 juillet 2015 sur PC et PS4. Le jeu s’est rapidement fait une petite notoriété en étant offert aux membres PS+, et ne cesse de charmer toujours plus de joueurs au fil du temps. Après une entrée sur One en février 2015, le titre passe finalement par la case Nintendo Switch le 14 novembre 2017, l’occasion pour ConsoleFun  de revenir sur ce titre atypique !



 

Pour ce qui est du portage Switch

 

 

Après avoir étudié la question, Psyonix répond finalement présent sur Nintendo Switch, avec un portage somme toute assez propre. L’attente se constituait principalement autour des performances de la console : pourrait-elle permettre la fluidité optimale au bon déroulement des parties, à côté des versions PC/PS4/Xbox One ?

 

Et bien heureusement, la réponse est oui ! Rocket League tourne constamment à 60fps sur Switch, peu importe l’action qui se déroule à l’écran –et il faut dire que la vitesse de jeu est toujours de mise. Cette fluidité est permise grâce à une résolution dynamique, qui varie entre 480 et 720p, selon les cartes et l’action. On reste globalement autour des 1024*576, ce qui est bien faible comparé à ce dont on dispose sur les autres plateformes. Aliasing et effet de flou sont présents, et en plus de ça il est difficile de jouer en multijoueur en mode portable, la faute à la taille de l’écran en splitté.



Cette version Switch privilégie la fluidité à la résolution.

 

Cette version Switch propose l’ensemble des modes de jeu et du contenu gratuit disponible jusque-là, ne comprenant donc pas les DLCs. On retrouve par ailleurs quelques exclues liées aux licences Nintendo, comme les voitures Mario et Metroid, qui sauront titiller la fibre de Nintendo-addict en vous.

 

On est donc globalement sur un portage de bonne facture, même si visuellement le titre reste plus beau sur PC/PS4 et One : la fluidité est mise à l’honneur, ce qui permet de conserver une formule de gameplay aussi précis et intense qu’addictif. Rocket League demeure ce jeu multi qui ravira vos soirées, et cette mouture Switch vous permettra enfin de faire vos parties classées dans le bus.

 



Le contenu exclusif à cette mouture Switch ravira les fans de Nintendo.

 

 

Des ingrédients simples pour une recette gagnante

 

 

 Le principe de Rocket League est assez simple : deux équipes de voitures, un gros ballon, une arène close aux angles arrondis, des cages, et des voitures. Si l’ensemble peut paraître surprenant, on a là la recette d’un cocktail détonnant, et addictif ! Chaque partie dure cinq minutes, avec des prolongations en but en or si l’égalité règne lors du coup de sifflet final.

 

On se déplace soit en caméra libre, soit en ciblant le ballon. Vous pouvez récupérer du boost sur des spots disséminés un peu partout dans l’arène, remplissant une jauge, et à utiliser quand vous le voulez. Les chocs entre voitures feront parler la loi du plus fort, allant jusqu’à provoquer des explosions lorsque vous percutez un ennemi avec suffisamment de puissance, chaque explosion étant suivie d’un respawn très rapide, diminuant le côté punitif de la chose.

 

Les possibilités sont simples mais nombreuses : double saut, dérapage ou encore salto dans tous les sens constitueront autant d’actions qui viendront dynamiser les parties, et les maîtriser sera la base de votre expérience de jeu ! Un mode entraînement assez complet est d’ailleurs disponible, de quoi s’assurer que l’on est prêt à passer au cœur du jeu : les matchs.

 



Le mode entraînement vous apprendra tout ce qu’il y a à savoir : bases et techniques avancées.

 

Si le titre propose des matchs d’exhibition ainsi qu’un mode Saison où l’on peut jouer contre des IAs, on viendra vite à bout de ces adversaires au fonctionnement assez limité : la façon de jouer des IAs est très prévisible, et ces bots se montreront peu performants, que ce soit en tant qu’alliés ou en tant qu’ennemis.

 

On se dirigera alors vers de vrais joueurs, aussi bien en ligne qu’en local ! Jusqu’à 4 en splité et jusqu’à 8 en ligne, parties classées ou pas, matchs privés modes injustes (1v2, 1v3, 1v4), on a de quoi faire varier les plaisirs et il y en a pour tous les goûts. Les modes classiques, 1v1, 2v2, 3v3 et 4v4 auront chacun des stratégies qui leur seront propres, et que l’on apprend à maîtriser en expérimentant. Vaut-il mieux garder un goal en 2V2 ou tenter une approche différente ? Vaut-il mieux jouer l’engagement ou tenter un contre bien placé ?

 

Le gameplay de Rocket League s’avèrera finalement très précis et maîtrisable, et l’on aura par exemple une satisfaction terrible lorsque l’on maîtrisera les frappes aériennes et autres envolées spectaculaires. A ce niveau, Rocket League fait un sans-faute : le fun est présent dès les premières minutes de jeu, et la marge de progression est très large, permettant à la découverte de laisser peu à peu place à compétition. On a droit à un replay après chaque but, et l’on peut sauvegarder le replay d’un match pour le regarder plus tard : une bonne façon d’immortaliser vos meilleurs actions !

 



Le jeu prend tout son sens lorsque l’on s’y adonne à plusieurs !

 

 

Du contenu en veux-tu en voilà

 

 

Histoire de dorloter ses joueurs, Rocket League leurs fournit du contenu à foison : les arènes sont très classes, passant d’une arène en jardin sous un magnifique soleil à une arène de pluie, puis une autre où l’on s’affrontera de nuit ; les décors sont vraiment plaisants et apportent toujours une sensation de foot de rue très compétitif, avec une mention spéciale pour l’arène Wasteland dont les deux côtés sont penchés, le ballon tombant irrémédiablement dans l’un des buts si l’on a le malheur de ne pas s’en occuper.

 

Mais la majorité du contenu concerne la personnalisation des véhicules : avec des dizaines d’éléments à débloquer au fil des matchs, qu’il s’agisse des châssis de voitures, des roues, de la peinture, de l’antenne, des stickers ou encore du chapeau, le jeu propose du contenu à foison et  les possibilités sont astronomiques.

 

De plus, comme chaque titre arrivant avec un peu de retard sur Xbox One, on a du contenu exclusif : ici, deux voitures exclusives à l’image des sagas Halo et Gears of War, un clin d’œil qui, s’il est assez maigre, reste sympathique. Mais surtout, cette version Xbox One embarque d’emblée les DLCs Supersonic Fury, Revenge of the Battle-Cars et Chaos Run ! Seule la DeLorean manque à l’appel, le DLC Back to the Future™ Car Pack étant vendu séparément pour 1€99.

 



Le garage vous permettra de personnaliser votre véhicule selon vos goûts.

Lire le test en entier...
Avatar de l’utilisateur
DamsPik
Aspirant Ninja
Messages : 24
Inscription : 06 septembre 2017, 06:05
Localisation : Paris

Re

Message par DamsPik »

Dommage pour la résolution du jeux. En tout cas je compte me le prendre!
Avatar de l’utilisateur
manire
Ninja
Messages : 109
Inscription : 17 mars 2015, 14:24
Localisation : Algérie

Re: Rocket League

Message par manire »

Je ne joue pas généralement a ce genre de jeu, mais mon ami m'a convaincu d'obtenir celui-ci. Après l'avoir joué pendant 10 heures au total, je l'ai trouvé extrêmement bien.


________________________________________________________________________________________________
galaxy s6 galaxy note 8
Répondre

Revenir à « Tests de jeux sur Console Fun »